J'ai demandé que l'on remonte le prix d'intervention, mais ce n'est pas possible aujourd'hui.
Nous maintenons le moratoire sur trois des cinq néonicotinoïdes, ceux qui traitent les plantes les plus attractives pour les abeilles. Les deux autres, selon les études, perturbent moins le système de repérage des abeilles, d'où le refus d'une interdiction globale. Il nous faut une étude complémentaire. Je présenterai le 19 juin prochain, dans le Var, un plan Abeilles qui traitera plus largement du système sanitaire, car l'évolution du cheptel des abeilles est multifactorielle. Nous importons 90 % de notre miel ! L'utilisation de néonicotinoïdes n'explique pas tout.