Je n'ai malheureusement pas pu assister à l'atelier du 9 avril. D'après le compte rendu qui en a été fait, le risque bioterroriste n'a a priori pas été abordé. Il s'agit pourtant d'un élément fondamental à prendre en compte. Le sera-t-il ? Comment ? N'y a-t-il pas des liens à faire avec le processus législatif en cours sur le renseignement ?