Nous sommes pris entre la volonté d'éviter les effets d'aubaine - trois mois ou un mois - et la volonté de simplifier le dispositif, de donner un signal très fort, sachant que cela joue essentiellement sur l'année civile et pour les recrutements du mois de décembre.
L'idée était d'inciter le maximum de jeunes à entrer en apprentissage, sachant que, quoi qu'il arrive, le crédit d'impôt est proratisé, mensuellement et non hebdomadairement.
Nous sommes donc plutôt favorables à une libération maximale de l'entrée en apprentissage. Si, toutefois, vous souhaitez mettre en place ce goulet d'étranglement, ou, tout du moins, ce régulateur de un mois, soit ! Le Gouvernement s'en remet à la sagesse du Sénat. L'état d'esprit qui est le sien est vraiment d'apporter le maximum d'aide.