Monsieur Lenoir, aucun accord que l’on noue avec des partenaires ne doit nous inspirer de la crainte !
En l’occurrence, il s’agit moins de chevaux que de bœufs, de services et de marchés publics, de produits industriels, pour lesquels des convergences réglementaires pourraient permettre un commerce plus facile.
Rien ne justifie qu’il faille des normes techniques différentes aux États-Unis et en Europe concernant, par exemple, les ceintures de sécurité, pour l’exportation ou la commercialisation des véhicules.