Monsieur le président, mesdames, messieurs les sénateurs, madame la présidente Michèle André, devant une question dont chacun s’accorde à reconnaître le caractère complexe, nous devons nous attacher davantage à ce qui nous rassemble qu’à ce qui pourrait nous diviser.
Nous pouvons nous rassembler, d’abord, autour du constat de l’illisibilité et de l’injustice de la DGF telle qu’elle est aujourd'hui. Cette situation est le fruit de l’histoire, et mon observation n’a pas de caractère politique. En tout cas, on peut craindre qu’elle ne soit pas de nature à réconcilier nos concitoyens avec l’exercice des responsabilités politiques locales…