Je me félicite de l'évolution du droit français qui donne désormais toute leur place aux langues régionales. Il me semble cependant que le point d'équilibre que nous avons atteint est satisfaisant. L'affirmation d'un droit imprescriptible de pratiquer la langue de son choix dans sa vie privée comme publique poserait de redoutables difficultés concrètes dans la vie quotidienne. Qu'en pensez-vous ?