Il y a, bien sûr, des résistances financières. Il existe des programmes européens mais ils ont financé des recherches qui avaient des objectifs différents. Ainsi du personal plane, un avion-taxi automatique, c'est-à-dire sans pilote. Nous avons besoin d'une aide massive à la recherche et de conserver nos savoir-faire. Aux États-Unis, des étudiants du MIT (Massachussetts institute of technology) ont conçu une voiture-avion, le Terrafugia - nous sommes en plein James Bond ! - grâce à des systèmes très légers. C'est l'avion du futur au banc d'essai. Chez nous, la collaboration entre l'industrie et les universités n'est pas assez ancrée, alors qu'un établissement comme l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) est à la pointe dans tous les domaines du transport.