... afin d'éviter, finalement, que Gaz de France ne reste isolé dans le jeu des concentrations auquel nous assistons désormais.
Ce n'était peut-être pas prévisible, je vous en donne acte, en 2004 : personne n'imaginait, à l'époque, que le secteur de l'énergie allait subir cette consolidation, avec une telle vitalité et une telle vitesse.