Pour faire face à ces changements, deux attitudes étaient possibles : soit on ne faisait rien et on attendait un autre créneau parlementaire dans dix-huit mois ou dans deux ans - mais quel sera le paysage énergétique à ce moment-là ? -, soit on saisissait tout de suite le Parlement. C'est ce qu'a souhaité le Gouvernement, et il remercie les parlementaires d'avoir débattu longuement de ces questions.
Le courage de cette majorité est de s'être saisi du problème. Il est vrai qu'il aurait été sans doute plus facile de laisser les choses suivre leur cours. Mais nous avons estimé que, dans l'intérêt de Gaz de France, dans l'intérêt du secteur énergétique, ...