La charte permet d'identifier de mauvaises pratiques, comme de facturer de 20 à 30 % de commission, ou de ne pas valider l'état de l'art, sources connues de dérapages. Nous avons repéré deux tendances dans les sept cabinets évalués : la volonté de racheter une image de marque mise à mal par une minorité ; la convergence sur les mêmes bonnes pratiques de deux grands profils de cabinets : ceux, avec une culture juridique et comptable, qui gardent une logique de professions réglementées, et les consultants en stratégie et financement d'innovation.