650 emplois étaient présents à Toulouse. 80 emplois ont été transférés à Lyon. Un plan de départs a porté sur environ 200 emplois. Nous avons aussi transféré 215 collaborateurs à une société allemande de grande qualité, Evotec, qui a investi à Toulouse. Nous conservons une implantation d'une cinquantaine de personnes à Toulouse. Ce fut la principale opération de restructuration des effectifs internes.
Comme je l'ai souligné, on ne peut rechercher un équilibre entre l'activité interne et l'activité externe, à partir d'un modèle entièrement interne, sans conséquence sur l'emploi. Cela dit, il ne faut pas seulement regarder la situation aux bornes du groupe, car les emplois qui ont été transférés à Evotec restent en France. Evotec a notamment été attiré en France par la qualité scientifique de ces effectifs et par le dispositif du crédit d'impôt recherche. Evotec a la perspective de création d'une centaine d'emplois. Globalement, le bilan ne sera donc pas aussi sévère, pour l'emploi de recherche en France, que ce qui peut apparaître si l'on examine la situation aux seules bornes du groupe.