Nous n'avons pas de problème de principe à nous adapter à des grands projets. Historiquement, la France a soutenu sa recherche par des projets et continue à le faire dans une certaine mesure, et quand vous observez les secteurs soutenus, la stratégie est très claire : l'aérospatial et la défense. En comparaison, dans le domaine des matériaux et de la chimie, les soutiens sur projet ont été beaucoup plus faibles.