Quand les Allemands s'employaient à améliorer les points forts de leur industrie, avec son tissu de PME, nous sommes restés les yeux fixés, des années durant, sur le modèle américain de la start up, qui convient bien aux technologies de l'information, à la biotechnologie et qui commence à faire son chemin dans le domaine de l'énergie, mais qui ne correspond pas à la réalité d'autres secteurs, comme l'automobile, par exemple. Le résultat, c'est que notre spectre n'est pas assez large : nous avons mis tous nos oeufs dans le même panier.