A Strasbourg, à Paris VI, à Aix-Marseille, à Nantes, cela marche bien, en effet. Mais quand on voit que des instituts de recherche technologique (IRT) se créent hors du périmètre des universités, on se dit qu'il y a là une occasion manquée. Si les étudiants voient les choses à travers les yeux de leurs professeurs, qui ne connaissent pas l'entreprise, ce peut être un problème. Globalement, le mouvement va dans le bon sens, tous les présidents d'université veulent développer leurs relations avec les entreprises. Toutes les universités veulent faire de la formation continue, et pour cause.