Mais cela suppose de dispenser des enseignements adaptés. Si l'on entend amener 50 % d'une classe d'âge à la licence avec des enseignements abstraits, il y a de quoi s'inquiéter. Seuls 20 % des Suisses ont leur bac, et le pays ne s'en porte pas plus mal. Chacun son système, mais ce qui est sûr, c'est que l'interaction entre université et entreprise est la clé de l'avenir.