Monsieur le sénateur, la question de la Grèce – pour reprendre votre expression – ne se pose pas depuis deux ou trois jours ! C’est une question difficile, à laquelle le Gouvernement ne se dérobe pas et qui est l’occasion de multiples dialogues depuis plusieurs mois, en particulier depuis que la majorité et le gouvernement ont changé en Grèce.
Le premier principe que nous appliquons, c’est celui du respect de la démocratie. Le gouvernement grec a changé, la majorité en Grèce a changé : personne n’a le droit de faire comme si rien n’avait changé dans le dialogue avec les partenaires européens.