Le « non aurait des conséquences, qui sont inconnues ou très peu connues, pour les uns comme pour les autres.
Quel que soit le résultat, la France sera là pour maintenir le dialogue, car c’est notre spécificité, non que la France cherche à se distinguer des autres pays européens, mais parce qu’elle a toujours été présente, pour que la Grèce retrouve la démocratie, entre dans l’Europe et, aujourd'hui, y reste.
La place de la Grèce est dans la zone euro, mais nous ne pouvons agir à la place des Grecs eux-mêmes. C’est maintenant à eux d’en décider.