Cette solution présenterait en sus l’avantage de ne rien coûter aux caisses d’allocations familiales et d’ouvrir la voie à une réforme de l’impôt sur le revenu.
Ma question est donc double : madame la secrétaire d'État, combien la modulation des allocations va-t-elle coûter aux caisses d’allocations familiales et envisagez-vous de revenir sur cette disposition pour fiscaliser le système ?