M. Michel Sapin, ministre. Le pire qui pourrait arriver, et d’abord pour la Grèce, ce serait de sortir de l’euro. Cela représenterait aussi une difficulté pour les autres pays ; surtout, cela constituerait une atteinte profonde à notre projet européen, qui vise à avancer, et non à reculer, à accueillir, et non à exclure tel ou tel pays.