Le paradoxe est certain entre la perception des conservatoires, souvent considérés comme sociologiquement élitistes, et leurs actions concrètes, qui traduisent leur mutation. Je m'interroge cependant et je ne vous ai pas entendus évoquer ce qu'est le conservatoire du XXIe siècle : quels publics recruter et fidéliser, quelles sont les attentes des usagers ? Comment prévenez-vous le décrochage des adolescents qui sont nombreux à abandonner leur cursus ? Quel est aujourd'hui le projet des conservatoires et leurs relations avec les différents acteurs des territoires dans lesquels ils sont implantés ? Quels sont les facteurs qui en restreignent l'évolution ?