Je partage beaucoup de ce qui a été dit par mes collègues. Je pense que nous aurions intérêt à mieux connaître les déterminants des refus afin de mieux dialoguer avec les donneurs potentiels et les familles. Je crois qu'il existe une étude sur ce point et il serait intéressant d'en connaître les résultats. Pourquoi ne communiquez-vous pas davantage sur la procédure Maastricht 3 ? Quelle appréciation avez-vous du dispositif à l'heure actuelle ? Nous avons à faire face, en France, à une situation de sous-développement de l'accueil d'embryons. En connaissez-vous les principales raisons ? Pour les centres de dépistage préimplantatoire (DPI), pouvez-vous nous indiquer ce que sont vos projets ainsi que les progrès réalisés par les centres d'assistance médicale à la procréation (AMP) ? Les recherches sur « l'homme amélioré » progressent à grands pas dans le monde ce dont ont témoigné plusieurs événements que j'ai particulièrement suivis. Pouvez-vous nous indiquer ce que sont les projets de l'agence sur ce point ? En 2011, nous avons favorisé la vitrification des ovocytes afin de répondre à certaines situations ; où en sommes-nous ? C'est un élément fort de la préservation de la fécondité. Nous allons sous peu organiser une audition publique sur l'épigénétique avec nos collègues Alain Claeys et Jean-Sébastien Vialatte. Quelles actions conduisez-vous en ce domaine ? Le travail sur les cellules souches de l'embryon apporte-t-il quelque chose à la connaissance de l'épigénétique ?