M. Bruno Retailleau. Dans votre conclusion, monsieur le ministre, vous avez indiqué que le Gouvernement souhaitait revenir devant nous et consulter le Parlement ; vous avez parlé de l’Assemblée nationale, mais j’imagine que vous vouliez parler de l’Assemblée nationale et du Sénat ! En vérité, il importe que le Parlement dans sa totalité s’exprime par un vote, dès lors qu’une position française aura été arrêtée. Il n’y a aucune raison que le peuple allemand soit le seul dont la souveraineté soit appelée à s’exercer via ses représentants !