M. David Rachline. Pour terminer, je souhaiterais citer Philippe Séguin qui, en 1992, disait à la tribune de l’Assemblée nationale : « Rien n’est plus dangereux qu’une nation trop longtemps frustrée de la souveraineté par laquelle s’exprime sa liberté, c’est-à-dire son droit imprescriptible à choisir son destin. On ne joue pas impunément avec les peuples et leur histoire. »