Je m’exprimerai très brièvement. Monsieur le ministre, j’avais l’intention de vous interroger sur la prise en compte des symptômes post-traumatiques. En effet, nous étions convenus de demander un meilleur dépistage six mois après les retours d’OPEX, ainsi qu’un meilleur suivi, en particulier de ceux qui ont quitté l’institution.
Vous pouvez bien sûr me répondre immédiatement ; toutefois, l’objet de cette intervention débordant le cadre de la LPM, une réponse en commission me conviendrait également.