Telles sont les conclusions des travaux que nous avons menés, M. Magner et moi-même, sur cet « an II » des ÉSPÉ.
Ce constat vous a peut-être paru encore mitigé mais il ne faut pas sous-estimer l'ampleur du chantier en cours. En outre, nous devons leur donner du temps pour mener à bien leur « révolution universitaire et professionnelle ». Enfin, saluons les initiatives locales, lorsqu'elles existent, et la mise en oeuvre de bonnes pratiques sur le terrain.