La fédération française du tennis de table est, bien entendu, en relation avec l'Insep. Les échanges, comme pour toutes les disciplines olympiques, sont quotidiens.
Je reviens à la question des moyens. L'article 6 du texte dispose que les fédérations sportives délégataires assurent, en lien avec l'État, les entreprises et les collectivités territoriales, le suivi socioprofessionnel de leurs licenciés. Mais quid des moyens ? J'indique que sur 1,5 million d'euros que nous recevons de l'État, seuls 45 000 euros sont fléchés pour assurer le suivi de 40 sportifs de haut niveau.
Je partage les inquiétudes de Mme Robert relatives à la scolarité. Il est inadmissible de constater que certains jeunes sont, dès 11 ans, âge à partir duquel on peut entrer sur les listes de haut niveau, obligés d'étudier au Centre national d'enseignement à distance (CNED), par correspondance.