Les syndicalistes que nous recevons ont bien mené leur combat - un combat pour la France - alors que les chauffeurs de taxi se sont mis la population à dos. Les députés européens - je l'ai été - n'ont aucun pouvoir à Bruxelles. Nous devrons un jour nous interroger sur ce libéralisme à tout crin qui fait la fortune des spéculateurs, mais joue contre l'intérêt des peuples européens, sous l'orientation de la toute-puissante Commission. Nous ne sommes pas là pour être des supplétifs. Messieurs, comptez sur nous, mais surtout sur vous-mêmes !