La Cour des comptes a examiné l'évolution des effectifs en partant des années 2000. L'accord sur les 35 heures avait débouché sur environ 150 embauches. Puis, jusqu'en 2007, la volonté de réduire la précarité a conduit à intégrer des intermittents du spectacle qui effectuaient des tâches techniques. La dernière vague d'intégrations a concerné les réalisateurs de radio, ceux que nous appelons les « metteurs en ondes ». Parallèlement, nous avons signé un accord interdisant le recours aux intermittents pour les parties techniques. L'évolution de la masse salariale est liée au glissement vieillesse-technicité, qui entraîne une augmentation automatique de 4 millions d'euros chaque année.