La situation est complexe : nouvelles technologies, réduction des marges budgétaires depuis 2012... Dans ce contexte de mauvais fonctionnement du dialogue social et de manque d'écoute des organisations de salariés, qui ont pourtant émis nombre d'alertes et même d'appels au secours, faire peser l'effort de rigueur budgétaire sur le personnel devient un véritable handicap. Le coût du dérapage du chantier a sans doute beaucoup pesé dans leur colère et le déclenchement du conflit : 380 millions d'euros supplémentaires...