Monsieur le ministre, je me joins au coeur des félicitations que nous avons entendues.
Les Anglo-Saxons semblent bouder cet accord. On peut le comprendre : en effet, aujourd'hui, les grands gagnants sont les Américains qui, suite aux sanctions, ont augmenté leurs échanges de 6 %, alors que ceux de l'Union européenne ont baissé de 8 %.
L'aval des États-Unis dans cet accord est-il indispensable ?