S'agissant des diverses déviances, allant de la prostitution au dopage, observées en périphérie des grands événements sportifs, que vous évoquez, madame Blondin, leur limitation constitue une priorité du projet que nous proposerons au CIO pour la tenue des Jeux olympiques à Paris. Nombreuses sont déjà les fédérations sportives qui intègrent cette contrainte dans le cadre des actions d'accompagnement de leurs sportifs, notamment les plus jeunes. Lors des Jeux olympiques, un document pourrait, par exemple, être joint à la charte d'accueil afin d'informer les participants sur la législation en vigueur en France en matière de lutte contre le dopage, comme sur l'arsenal répressif applicable à la prostitution.