Le fait que les femmes deviennent rares dans les postes dirigeants des associations doit être évidemment abordé lors de notre colloque, comme l'a relevé notre présidente.
Pour en revenir à la tonalité de certains débats dans notre assemblée, nous pourrions décerner chaque année un « prix citron » à l'auteur de la remarque la plus déplacée sur les femmes. Les propos sexistes sont, il faut bien le dire, essentiellement le fait des hommes. Nous devrions être audacieux, dans cette délégation, sur ce sujet.