Ce sujet délicat rejoint la question de l'identité, si importante. Nous devons être conscients que beaucoup d'opérations ont lieu à l'étranger : des gens quittent notre pays puis y reviennent avec une identité qui n'y est pas reconnue officiellement. Ce vide juridique est pour eux à l'origine d'un traumatisme supplémentaire. J'appuie l'initiative de Corinne Bouchoux, nous devons avoir le courage d'aborder cette question.