Les différences de « retour sur investissement dans l'enseignement supérieur » entre hommes et femmes figurant dans l'étude réalisée par l'OCDE s'expliquent essentiellement par une différence de taux d'activité, ce qui a une incidence fiscale dont l'OCDE tient compte dans ses calculs. Nous constatons, en effet, - et nous regrettons - que les femmes continuent d'être orientées vers des métiers où l'insertion professionnelle, le salaire moyen, le taux de contrats à durée indéterminée et le taux de cadres sont moindres.