En ma qualité de président de l'intergroupe parlementaire, je reviens sur des points qui nous pénalisent par rapport à nos collègues hexagonaux. Sur la question des absences, j'étais intervenu par courrier. Il me semblait que satisfaction partielle nous était donnée, mais l'interprétation du règlement retenue est maintenant à revoir. Autre pénalité, celle qui découle de notre double résidence. Nous ne sommes en fait pris en charge que huit mois dans l'année, alors même que les sessions extraordinaires s'étendent sur juillet et septembre.
Il me semble qu'il faut profiter du caractère institutionnel de la délégation pour élaborer une stratégie et aller, en force, voir le Président et nos groupes respectifs.