On a fait beaucoup de progrès dans la féminisation de l'apprentissage, avec des secteurs presque exclusivement féminins, comme l'esthétique, par exemple. Des jeunes filles commencent également à venir dans des secteurs comme le bâtiment ou l'alimentation. Nous souhaitons continuer à développer cette féminisation, qui apporte beaucoup.
Le dispositif de préapprentissage à quatorze ans peut éviter à certains publics en grande difficulté de perdre leur temps inutilement dans le système académique. C'est souvent une réussite. Quant aux contrats d'avenir, les objectifs donnés aux préfets en faisaient une priorité, mobilisant toutes les énergies, aux dépens de l'apprentissage.