Je rappelle que, depuis une quinzaine d’années, des rapports successifs, dont un du Sénat de 2006, soulignent que le système de l’aide juridictionnelle est à bout de souffle et qu’il va imploser.
Deux possibilités s’offraient à nous : ne rien faire – ce qui fut le cas pendant de nombreuses années – ou engager une réforme courageuse de progrès et de justice.