D’ailleurs, dans le cas de l’abattoir d’Alès, un contrôle sanitaire effectué le 4 septembre dernier avait établi l’existence de graves manquements.
Ces actes intolérables ne doivent plus se reproduire : il faut davantage de vétérinaires et des infrastructures mieux adaptées, afin d’écarter des contraintes de rendement qui contribuent à la commission de ces actes effroyables.
Je suis de celles qui pensent que le respect de la vie animale éduque au respect de la vie humaine.
Monsieur le ministre, pouvez-vous vous engager à ce que la législation en matière de contrôles et de sanctions soit enfin appliquée, non seulement pour les abattoirs, mais également en matière d’élevage et de transports ?