M. David Rachline. Monsieur le président, madame la secrétaire d’État, mes chers collègues, je ne reviendrai pas sur les propos de M. Labbé. Simplement, je ne suis pas surpris que les Verts soient au fond du trou et que les électeurs les écartent, eux comme leurs amis communistes d’ailleurs, ce dont je me félicite !