Amiral, nos mers sont de plus en plus le théâtre de déplacements de populations de réfugiés, dans des conditions de précarité que nous déplorons tous. Comment la marine nationale intègre-t-elle cette situation en termes d'activité, mais également au plan humain ?
Par ailleurs, vous avez fait référence à l'École des mousses. J'ai eu, dans une vie antérieure un proche collaborateur qui en avait été l'élève. Ce n'était pas un enfant en difficulté, mais en rupture scolaire. Il vous devait une rigueur exceptionnelle, une grande efficacité et une certaine élégance de comportement. Merci à vous !