L'amendement n° 8 rectifié bis, comme les cinq suivants, sort les médicaments génériques de l'assiette de la contribution sur les ventes en gros de spécialités pharmaceutiques, assise sur le chiffre d'affaires hors taxes réalisé en France auprès des pharmacies d'officine. Les génériques sont déjà exclus de la troisième tranche de la contribution, qui est la plus élevée et les retirer de l'assiette des deux premières n'aiderait guère les grossistes les plus en difficulté ; mieux vaut engager avec le Gouvernement un débat sur la rémunération des missions de service public des grossistes répartiteurs. Le problème tient à la disparition de certaines officines et à la baisse du prix d'un grand nombre de médicaments.