Je rejoins M. le président de la commission des affaires européennes.
On peut effectivement faire le lien avec ce que nos compatriotes ont signifié lors des deux tours des élections régionales : de très fortes attentes en matière d’emploi, d’économie, pour l’avenir des territoires et les futures générations, mais également de sécurité, de protection.
Notre conviction – c’est, je crois, ce qu’ont exprimé les différents orateurs – est que l’Europe doit contribuer à apporter ses réponses.
Face à des courants de repli populistes, antieuropéens, nous devons faire la démonstration qu’il faut non pas déconstruire, mais renforcer l’Union européenne !
Face aux crises les plus urgentes, celle du terrorisme et celle des migrations, qui renvoient à des instabilités extérieures, donc à la nécessité de construire une politique étrangère, de sécurité et de défense, mais aussi face à la crise économique et sociale, dont l’Europe n’est pas encore complètement sortie, nous devons renforcer nos capacités d’action commune et continuer à bâtir le projet européen, au service de nos concitoyens !