C’est exactement la démarche que nous avons voulu suivre – et je veux en remercier à la fois Philippe Bas, président de la commission des lois, et Michel Mercier, ancien garde des sceaux et rapporteur – en essayant de tirer des leçons des événements. La première de ces leçons, on le voit bien, c’est que, l’an dernier, janvier n’a pas pu nous prémunir de novembre.
Ces leçons, nous devons les tirer pour l’avenir. Nous ne sommes pas des historiens. Nous sommes des femmes et des hommes politiques, …