J’ai été, moi aussi, sensible aux déclarations des plus hauts responsables des grandes instances judiciaires françaises. Elles ne sont ni de droite ni de gauche : elle représente une autorité qui est importante pour nous. Dans la proposition de loi, nous n’avons pas oublié ce versant pour trouver le juste équilibre dont je parlais.
Pour conclure, monsieur le garde des sceaux, je veux vous lire une déclaration du Président de la République du 18 décembre à laquelle je ne doute pas que vous voudrez donner toute sa portée de façon concrète : « Ce qui compte, c’est de faire en sorte que le dialogue puisse s’ouvrir avec l’opposition quand elle a des propositions à faire. »