Dans mon esprit, l’objet n’est pas de diminuer le nombre de centres sociaux ; il s’agit de rendre possible la mutualisation des postes de direction.
J’ai bien compris qu’il pouvait y avoir un directeur pour plusieurs centres, mais qu’il devait y avoir un directeur adjoint par centre. J’ai également entendu la réponse de Mme la secrétaire d’État s’agissant des prérogatives de chaque CAF.
Personne ne conteste le rôle des centres sociaux en matière de prévention. Toutefois, le financement de ces structures relève d’une politique facultative des départements. Vous comprendrez que nous soyons attachés à l’effort de mutualisation à un moment où les collectivités sont asphyxiées financièrement.
Quoi qu’il en soit, je remercie Mme la secrétaire d’État de nous avoir éclairés sur les possibilités offertes aux CAF. Je souhaiterais que la règle d’automaticité entre, d’une part, un centre et, d’autre part, un directeur et un projet puisse être modulée en fonction des territoires et des besoins. J’espère qu’il pourra y avoir des évolutions en ce sens.