N'est-il pas possible d'accorder la relation entre médecine hospitalière et médecine libérale ? Les praticiens des hôpitaux ne pourraient-ils exercer en libéral au profit des populations environnantes ?
Mon autre question est d'ordre moral ou déontologique. Dans ma commune, qui a besoin d'un dentiste, nous avons trouvé une candidate, mais qui nous dicte ses conditions : être payée 3 000 euros par mois, bénéficier d'une assistante médicale, et j'en passe. Les communes rurales qui ont des difficultés financières ne peuvent pas entreprendre de fonctionnariser ainsi les professions médicales ; ce serait mettre le doigt dans l'engrenage. Se lancer dans un soutien collectif sans limite, n'est-ce pas donner prise à la surenchère ?