Je veux dire tout d'abord à ma jeune consoeur Mme Frelat que la situation étudiante qu'elle a décrite tout à l'heure était la même il y a trente ans. Nous avons vécu le même parcours. Mais quand je sortais de douze heures de garde, même si elles n'étaient pas très bien payées, j'étais fier. C'est un métier qui demande vocation.