Monsieur Rivaton, mes chers collègues, je vous présente de vive voix mes excuses pour mon retard et je remercie Yannick Vaugrenard de m'avoir suppléé.
Monsieur Rivaton, j'ai lu avec intérêt votre ouvrage La France est prête. Au-delà de la beauté de son titre, c'est un livre qui m'a interpellé parce que, à sa lecture, on comprend que la France, justement, ne l'est pas du tout.