Cette branche ne doit plus être perçue par les élèves, leur famille et les enseignants comme le parent pauvre de la politique éducative française. Au contraire, pour ces jeunes, elle est l’opportunité de construire un projet professionnel et personnel, pour devenir les citoyens actifs de demain.
Mes chers collègues, avant de conclure, je mentionnerai brièvement deux points.
Premièrement, l’éducation et la médiation artistiques et culturelles doivent avoir pleinement leur place dans tous ces établissements. Il en est de même de la mobilité nationale et internationale, grâce à laquelle des jeunes qui n’en ont pas l’opportunité dans la sphère privée pourront s’ouvrir au monde et à la citoyenneté.
Deuxièmement, il faut lutter contre la perpétuation des stéréotypes de genre, hélas trop présents dans ces établissements.