Lors de l'examen de la proposition de loi visant à favoriser l'ancrage territorial de l'alimentation, en séance publique, j'ai dénoncé à la tribune l'avalanche de courriels dont nous avons été victimes avant l'examen du texte. Mon propos a eu un certain effet : la source s'est tarie. Ceux qui ont voté contre le texte ont reçu le lendemain un seul courriel, mais dont la teneur dépassait l'imaginable. Je propose d'inviter cette personne devant notre commission pour qu'elle s'explique.